[color=#00fff]والي بنك المغرب 2011 سنة صعبة gouverneur Bank Al-Maghri[/color]
قال والي بنك المغرب٬ عبد اللطيف الجواهري٬ يوم الثلاثاء 27 مارس، بالرباط٬ إن سنة 2011 كان لها "أثر قوي نوع ما" على المستوى المالي٬ مضيفا أن العجز بلغ خلال هذه الفترة 7 في المائة٬ خارج عائدات الخصخصة.وسجل الجواهري٬ الذي كان يتحدث خلال ندوة صحفية بمناسبة أول اجتماع لمجلس بنك المغرب برسم سنة 2012، والذي يعقد بصفة دورية كل ثلاثة أشهر٬ أن معدل التضخم بلغ 0.9 في المائة٬ في حين انخفض الاحتياطي من العملة الأجنبية ليغطي خمسة أشهر من الواردات٬ مشيرا إلى أن العجز التجاري ارتفع في أواخر فبراير 2012، تحت تأثير الزيادة الكبيرة في واردات النفط والمواد الغذائية.
وفي ما يخص آفاق نمو النشاط الاقتصادي خلال سنة 2012، اعتبر والي بنك المغرب أن الأمر يتعلق بـ "سنة تتسم بالجفاف"٬ وقال إنه من الواضح أن "أداء سنة 2012 سيكون أقل مما كان عليه في سنة 2011"٬ مذكرا بالظرفية الدولية الصعبة سواء في منطقة الأورو أو في الولايات المتحدة.
وأوضح٬ في هذا الإطار٬ أن "الهيئات الدولية خفضت توقعاتها للنمو في أوروبا٬ ما سيؤثر على الطلب الخارجي نحو المغرب". وسجل أن المجلس بحث٬ أيضا٬ "تزايد أثر ضغوط التضخم للخارج٬ بالنظر للوضع في أوروبا"٬ مضيفا أن تحليل التطورات النقدية أظهرت استقرارا معدل النمو السنوي للكتلة النقدية (م 3) في 5.7 في المائة بين الربع الأخير من سنة 2011 ويناير 2012.
وذكر بأن المعدل السنوي لنمو الائتمان المصرفي٬ استقر في 10.6 في المائة في يناير 2012 بعد أن كان 8.1 في المائة في الربع الأخير من السنة الماضية٬ معتبرا أن التضخم٬ خلال العام الجاري٬ سيستقر عند 1.7 في المائة و1.9 في المائة في الربع الثاني من 2013، في حين سيتم خفض السعر المديري من 3.25 إلى 3 في المائة.
Le gouverneur de Bank Al-Maghri, Adellatif Jouahri, a souligné, mardi à Raat, que 2011 a été une année «assez lourde» sur le plan financier, précisant que lors de cette période le déficit pulic s'est situé à 7 pour cent, en dehors des recettes générées par la privatisation.
Jouahri, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, à l'occasion de la 1ère réunion trimestrielle du Conseil de Banque Al-Maghri pour 2012, a noté que l'inflation s'est étalie à 0,9 pour cent, tandis que les réserves de change ont aissé à 5 mois d'importation, ajoutant que le déficit commercial s'est creusé à fin février 2012, sous l'impact d'une hausse importante des importations pétrolières et des denrées alimentaires. Pour ce qui est des perspectives de croissance de l'activité économique en 2012, le gouverneur de l'Autorité monétaire a estimé qu'il s'agit d'«une année de sécheresse» .
Visilement, «les performances de 2012 sont inférieures à celles de 2011», selon Jouahri qui a fait état d'une conjoncture internationale difficile aussi ien dans la zone euro qu'aux Etats-Unis. Il a expliqué, dans ce cadre, que «les organismes internationaux ont révisé à la aisse leurs prévisions de croissance en Europe, ce qui va impacter la demande extérieure vers le Maroc».
Le Conseil a, également examiné «l'impact des tensions inflationnistes de l'extérieur qui sont atténuées, vu la situation en Europe», a-t-il noté, ajoutant que l'analyse des évolutions monétaires fait ressortir une stailité du rythme annuel de progression de M3 à 5,7 pour cent entre le 4e trimestre 2011 et janvier 2012.
Le taux annuel de progression du crédit ancaire s'est situé, quant-à-lui, à 10,6 pour cent en janvier 2012 après 8,1 pour cent au 4e trimestre 2011, a-t-il rappelé, estimant que durant l'année en cours, l'inflation s'étalirait à 1,7 pour cent et à 1,9 pour cent au 2e trimestre 2013, alors que le taux directeur sera ramené de 3,25 à 3 pour cent.
Par ailleurs, le Conseil a «convenu de fixer des ojectifs volontaristes pour le financement des PME et des TPE», selon Jouahri, qui a annoncé que la Banque centrale a «réservé 25 pour cent des facilités à trois mois» aux crédits consentis à leur financement. Il a, d'autre part, fait état de «l'engagement de Banque Al-Maghri à toucher, en 2014, les deux-tiers des Marocains en matière de ancarisation, y compris Poste Maroc», relevant, cependant, que «le monde rural reste sous-équipé» dans ce domaine.
Lors de cette 1ère réunion trimestrielle du Conseil de Banque Al-Maghri, les déats ont également porté, entre autres, sur l'éducation financière et la finance islamique.
Jouahri, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, à l'occasion de la 1ère réunion trimestrielle du Conseil de Banque Al-Maghri pour 2012, a noté que l'inflation s'est étalie à 0,9 pour cent, tandis que les réserves de change ont aissé à 5 mois d'importation, ajoutant que le déficit commercial s'est creusé à fin février 2012, sous l'impact d'une hausse importante des importations pétrolières et des denrées alimentaires. Pour ce qui est des perspectives de croissance de l'activité économique en 2012, le gouverneur de l'Autorité monétaire a estimé qu'il s'agit d'«une année de sécheresse» .
Visilement, «les performances de 2012 sont inférieures à celles de 2011», selon Jouahri qui a fait état d'une conjoncture internationale difficile aussi ien dans la zone euro qu'aux Etats-Unis. Il a expliqué, dans ce cadre, que «les organismes internationaux ont révisé à la aisse leurs prévisions de croissance en Europe, ce qui va impacter la demande extérieure vers le Maroc».
Le Conseil a, également examiné «l'impact des tensions inflationnistes de l'extérieur qui sont atténuées, vu la situation en Europe», a-t-il noté, ajoutant que l'analyse des évolutions monétaires fait ressortir une stailité du rythme annuel de progression de M3 à 5,7 pour cent entre le 4e trimestre 2011 et janvier 2012.
Le taux annuel de progression du crédit ancaire s'est situé, quant-à-lui, à 10,6 pour cent en janvier 2012 après 8,1 pour cent au 4e trimestre 2011, a-t-il rappelé, estimant que durant l'année en cours, l'inflation s'étalirait à 1,7 pour cent et à 1,9 pour cent au 2e trimestre 2013, alors que le taux directeur sera ramené de 3,25 à 3 pour cent.
Par ailleurs, le Conseil a «convenu de fixer des ojectifs volontaristes pour le financement des PME et des TPE», selon Jouahri, qui a annoncé que la Banque centrale a «réservé 25 pour cent des facilités à trois mois» aux crédits consentis à leur financement. Il a, d'autre part, fait état de «l'engagement de Banque Al-Maghri à toucher, en 2014, les deux-tiers des Marocains en matière de ancarisation, y compris Poste Maroc», relevant, cependant, que «le monde rural reste sous-équipé» dans ce domaine.
Lors de cette 1ère réunion trimestrielle du Conseil de Banque Al-Maghri, les déats ont également porté, entre autres, sur l'éducation financière et la finance islamique.
Source Matin Press
والي بنك المغرب 2011 سنة صعبة Gouverneur Bank Al-Maghri
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