الاكتظاظ في الكليات وانشاء المدرجات الجديدة
2012-2013
des nouveaux amphithéâtres
2012-2013
des nouveaux amphithéâtres
Plusieurs points noirs marquent l’Enseignement supérieur au Maroc, et les étudiants ne savent plus où donner de la tête. Après une orientation pédagogique défaillante, des seuils d’entrées trop élevés, ils se retrouvent confrontés à un prolème plus délicat: le surpeuplement dans les facultés. Le point
La prolématique majeure de la rentrée 2012-2013 résidait dans le flux des nouveaux arrivants dans les universités, qui est deux fois supérieur à celui de la rentrée précédente, selon les estimations du ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation des cadres.
Résultat, un encomrement des facultés, dont certaines attent des records en matière de surpeuplement, à l’instar de la faculté des sciences Ben M’sik de Casalanca, qui compte 9.600 étudiants pour une capacité d'accueil de 5.000, selon le doyen, M’hammed Said Keaj. Un engorgement qui met davantage en cause la qualité de l'enseignement prodigué.
Avec l’augmentation accrue des effectifs, le renforcement de la capacité d’accueil devient plus qu’urgent.
On s’attaque au surpeuplement
Afin d’asorer un surplus d’étudiants dans la plupart des universités marocaines, plusieurs mesures ont été prises dont des décisions relatives à l'ouverture de nouveaux étalissements.
Le gouvernement a prévu, dans la cadre du projet de loi de Finances 2013, la construction d’environ 24 amphithéâtres, dans différentes universités marocaines, capales d'accueillir 15.900 étudiants.
Sont concernées par cette mesure, les universités Sidi Mohammed Ben Adellah de Fès, Al Mawla Ismail de Meknès, Mohammed V de Raat, In Zohr d’Agadir, Hassan II de Mohammedia, Mohammed Ier d’Oujda, Adelmalek Saadi de Tétouan, et Cadi Ayyad de Marrakech, ainsi que la faculté In Tofail de Kénitra et la faculté multidisciplinaire de Beni Mellal.
Ce n’est pas suffisant !
Contacté par nos soins, M’hammed Said Keaj, doyen de la faculté des sciences Ben M’sik de Casalanca, a salué cette décision qu'il qualifie d’auaine susceptile de remédier au prolème...Mais partiellement.
“C’est une très onne solution que de construire de nouveaux amphithéâtres. Mais cela reste en deçà de ce qu’il faut vraiment faire pour en finir avec le prolème du surpeuplement.” M'hammed Said Keaj, doyen de la faculté des sciences Ben M'sik de Casalanca.
Il a insisté, dans ce sens, sur la nécessité de créer, hormis les amphis, des salles de travaux pratiques et de travaux dirigés, le tout dans les plus refs délais, avant que la situation ne soit eaucoup plus préoccupante.
Il a souligné, à cet égard, la construction de trois âtiments depuis 2009, toujours à la traîne dans sa faculté. “S’ils étaient prêts aujourd’hui, une grande partie du prolème aurait été résolue”, a-t-il indiqué.
Rappelons que le syndicat national de l’enseignement supérieur a organisé, pour la première fois dans l’histoire du Maroc, une grève nationale, le 8 novemre dernier, pour dénoncer le surpeuplement dans les facultés, entre autres prolèmes, et appeler à l’amélioration de la situation de ces étalissements
La prolématique majeure de la rentrée 2012-2013 résidait dans le flux des nouveaux arrivants dans les universités, qui est deux fois supérieur à celui de la rentrée précédente, selon les estimations du ministère de l’Enseignement supérieur et de la formation des cadres.
Résultat, un encomrement des facultés, dont certaines attent des records en matière de surpeuplement, à l’instar de la faculté des sciences Ben M’sik de Casalanca, qui compte 9.600 étudiants pour une capacité d'accueil de 5.000, selon le doyen, M’hammed Said Keaj. Un engorgement qui met davantage en cause la qualité de l'enseignement prodigué.
Avec l’augmentation accrue des effectifs, le renforcement de la capacité d’accueil devient plus qu’urgent.
On s’attaque au surpeuplement
Afin d’asorer un surplus d’étudiants dans la plupart des universités marocaines, plusieurs mesures ont été prises dont des décisions relatives à l'ouverture de nouveaux étalissements.
Le gouvernement a prévu, dans la cadre du projet de loi de Finances 2013, la construction d’environ 24 amphithéâtres, dans différentes universités marocaines, capales d'accueillir 15.900 étudiants.
Sont concernées par cette mesure, les universités Sidi Mohammed Ben Adellah de Fès, Al Mawla Ismail de Meknès, Mohammed V de Raat, In Zohr d’Agadir, Hassan II de Mohammedia, Mohammed Ier d’Oujda, Adelmalek Saadi de Tétouan, et Cadi Ayyad de Marrakech, ainsi que la faculté In Tofail de Kénitra et la faculté multidisciplinaire de Beni Mellal.
Ce n’est pas suffisant !
Contacté par nos soins, M’hammed Said Keaj, doyen de la faculté des sciences Ben M’sik de Casalanca, a salué cette décision qu'il qualifie d’auaine susceptile de remédier au prolème...Mais partiellement.
“C’est une très onne solution que de construire de nouveaux amphithéâtres. Mais cela reste en deçà de ce qu’il faut vraiment faire pour en finir avec le prolème du surpeuplement.” M'hammed Said Keaj, doyen de la faculté des sciences Ben M'sik de Casalanca.
Il a insisté, dans ce sens, sur la nécessité de créer, hormis les amphis, des salles de travaux pratiques et de travaux dirigés, le tout dans les plus refs délais, avant que la situation ne soit eaucoup plus préoccupante.
Il a souligné, à cet égard, la construction de trois âtiments depuis 2009, toujours à la traîne dans sa faculté. “S’ils étaient prêts aujourd’hui, une grande partie du prolème aurait été résolue”, a-t-il indiqué.
Rappelons que le syndicat national de l’enseignement supérieur a organisé, pour la première fois dans l’histoire du Maroc, une grève nationale, le 8 novemre dernier, pour dénoncer le surpeuplement dans les facultés, entre autres prolèmes, et appeler à l’amélioration de la situation de ces étalissements
[color=#c[font=tahoma]Source: aufait [/color]